Équipe responsable
Équipe pastorale

Joss Ngandu
Pasteur principal et son épouse Tinda
A la fin du printemps de l’année 1991, alors que j’étais en vacances à Kinshasa (capitale du Congo dont je suis originaire), ma quête et principale question aux chrétiens Kinois que je rencontrais, était de savoir pourquoi ne priait-il pas Marie, la mère de notre Seigneur ? Sans relation personnelle avec Dieu mais plus par tradition, j’étais quelqu’un qui aimait beaucoup les discussions et autres débats, et je ne trouvais personne de convaincant sur ce sujet jusqu’au jour où, en visite chez un ami, il eut la sagesse de me renvoyer dans le récit biblique des noces de Cana (évangile de Jean chapitre 2 versets 1 à 11) et particulièrement sur ce verset qui dit : « Jésus lui répond : Femme, que me veux-tu ? Mon heure n’est pas encore venue. » Je l’ai reçu vraiment comme un choc. Comment mon Jésus pouvait-il appeler celle que je vénérais tant, sa précieuse mère, « femme » et de lui dire « que me veux-tu ? » Ce fut là pour moi une réponse d’autant plus que le récit continue par la parole de Marie aux disciples disant « Tout ce qu’il vous dira, faites-le. » Quelques jours plus tard, encore sous le choc de cette révélation, une amie de mon jeune frère vint me rendre visite. C’est lors de nos échanges qu’elle me dit de manière très spontanée « mets-toi à genoux et demande pardon pour tous tes péchés« . Sans rechigner, convaincu de mon état de pécheur, je me suis volontairement recueilli demandant pardon à Dieu et j’ai alors profondément ressenti une paix immense et l’assurance d’être pardonné. Depuis, ma vie a changé, ma relation avec Dieu est devenue vivante, constante et riche de sa présence. C’est ce que je vous souhaite.

Daniel Thévenet
Pasteur sénior et son épouse Brigitte
PASTEURS-STAGIAIRES

Rémi Landel
A la fin du printemps de l’année 1991, alors que j’étais en vacances à Kinshasa (capitale du Congo dont je suis originaire), ma quête et principale question aux chrétiens Kinois que je rencontrais, était de savoir pourquoi ne priait-il pas Marie, la mère de notre Seigneur ? Sans relation personnelle avec Dieu mais plus par tradition, j’étais quelqu’un qui aimait beaucoup les discussions et autres débats, et je ne trouvais personne de convaincant sur ce sujet jusqu’au jour où, en visite chez un ami, il eut la sagesse de me renvoyer dans le récit biblique des noces de Cana (évangile de Jean chapitre 2 versets 1 à 11) et particulièrement sur ce verset qui dit : « Jésus lui répond : Femme, que me veux-tu ? Mon heure n’est pas encore venue. » Je l’ai reçu vraiment comme un choc. Comment mon Jésus pouvait-il appeler celle que je vénérais tant, sa précieuse mère, « femme » et de lui dire « que me veux-tu ? » Ce fut là pour moi une réponse d’autant plus que le récit continue par la parole de Marie aux disciples disant « Tout ce qu’il vous dira, faites-le. » Quelques jours plus tard, encore sous le choc de cette révélation, une amie de mon jeune frère vint me rendre visite. C’est lors de nos échanges qu’elle me dit de manière très spontanée « mets-toi à genoux et demande pardon pour tous tes péchés« . Sans rechigner, convaincu de mon état de pécheur, je me suis volontairement recueilli demandant pardon à Dieu et j’ai alors profondément ressenti une paix immense et l’assurance d’être pardonné. Depuis, ma vie a changé, ma relation avec Dieu est devenue vivante, constante et riche de sa présence. C’est ce que je vous souhaite.

Solyne Picot
Evangéliste

Michel Rivier
Évangéliste et son épouse Maryse
Alors que je visitais ma tante, professeur de français en Angleterre ; c’est là, dans ce pays, que je me suis converti.
Peu de temps après mon retour en France j’apprenais que mon père avait un cancer du poumon. Fils unique, je vivais seul avec celui-ci, ma mère étant morte quelques années auparavant également d’un cancer… A ma conversion, j’ai fréquenté une église évangélique dans la ville où j’habitais. Celle-ci priait ardemment avec moi pour la guérison de mon père. Et avec ma foi de jeune chrétien, je m’attendais à sa guérison. Mais hélas alors que j’étais en 1ère année de fac de médecine, un matin, en cours, le doyen vint m’annoncer le décès de mon père. J’avais alors 18 ans et subitement me retrouvais orphelin de père et mère !
Alors du fond de mon cœur est sorti cette interrogation : « Pourquoi ? Pourquoi moi ? Je te connais Seigneur, je suis ton enfant. Je n’ai ni volé, ni tué, pourquoi ? » Le soir même, alors que j’étais dans ma chambre, mon père reposant à côté sur son lit de mort, je questionnais toujours Dieu. A ce moment précis j’étais réveillé, conscient quand soudain j’ai entendu une voix douce qui m’a dit tout simplement : « Mon enfant, fais moi la prière de Job. Je l’avais lu dans la Bible. Je l’ai faite alors en disant comme Job : ‘ Dieu tu as donné, Dieu tu as ôté que ton nom soit béni ! «
A peine avais-je fini ma prière qu’une paix extraordinaire est tombée sur moi. Je me suis retrouvé là debout, remplis d’une paix et d’une joie merveilleuse que je ne pouvais pas expliquer et louant Dieu ! Pouvez-vous imaginer le paradoxe ? Quelques secondes plus tôt j’étais complètement brisé et, tout d’un coup j’étais rempli de cette paix et de cette joie !!! Et j’ai alors réalisé que Dieu ne me demandait pas de comprendre le pourquoi ou le comment de cette situation, mais qu’il me demandait de lui faire simplement confiance et de lui remettre toute ma vie. Lui, le Seigneur s’occuperait de moi et m’appellerait à Son service.
C’est ce que j’ai fait. J’ai finalement fait des études plus courtes en raison de cet événement. Je suis devenu kinésithérapeute et me suis marié. L’appel de Dieu pour Son service était toujours dans mon cœur. Avec mon épouse nous sommes donc partis en Angleterre nous former dans une école biblique Elim Bible College ».
De retour à Villeurbanne, le pasteur Claude Stalin, alors responsable de l’EERV, m’a laissé démarrer une église à Saint Priest. A cette même période j’ai été nommé ancien dans l’église. Nous avons ainsi commencé la première réunion à deux ou trois personnes dans notre salon. Le Seigneur a béni ce travail et petit à petit l’église de Saint-Priest a grandi. Mais dans mon cœur, je sentais que l’appel reçu de Dieu n’était pas tant un appel pastoral mais davantage un appel dans l’évangélisation. Bien sûr, au démarrage d’une église, vous êtes tout à la fois pasteur, évangéliste, enseignant. Mais au fil du temps, je ressentais de plus en plus cet appel insistant à l’évangélisation, plutôt que dans celui des soins pastoraux.
La porte s’est ouverte quelques temps plus tard. Le pasteur Claude Ruffo qui avait succédé au pasteur Stalin, avait besoin de quelqu’un pour s’occuper de l’évangélisation. Nous avons donc quitté l’église de Saint-Priest pour revenir à l’église de Villeurbanne afin de travailler dans ce domaine. Là j’ai trouvé pleinement ma place. L’église de Saint Priest quant à elle a continué de grandir avec la venue d’autres pasteurs.
Le Seigneur a confirmé cet appel à Villeurbanne puis a ouvert d’autres portes à l’international. Un frère anglais m’a invité à faire de l’évangélisation dans les rues de Londres. J’y ai rencontré d’autres pasteurs de différents pays. Ceux-ci m’ont invité à tenir des missions d’évangélisation dans leurs pays.
Et c’est ainsi que, par la grâce de Dieu, je suis allé en Inde, aux Philippines, en Chine et en Colombie. Vraiment Dieu a béni ces missions.
Actuellement, je continue mon travail de kinésithérapeute hospitalier tout en étant engagé dans l’église en tant qu’évangéliste et travaillant avec l’équipe pastorale. Je suis aussi disponible pour le corps de Christ, au sein de notre union d’églises mais également auprès d’autres unions d’églises et assemblées. C’est pourquoi je suis parfois absent de notre communauté !